Le diabète non insulino-dépendant (DNID) ou de type II apparait chez les sujets de 40 à 65 ans, le plus souvent obèses.
C’est le plus fréquent des diabètes communs, environ 90% des cas.
Sa physiopathologie est encore mal connue. Deux types d’anomalies ont pu être mis en évidence : une anomalie fonctionnelle des cellules β des îlots de Langerhans et une résistance à l’insuline avec anomalie des récepteurs à l’insuline.
Sa composante génétique est plus importante que dans le diabète de type I.
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